logo symphonie

Mode d’emploi

La recherche peut se faire par critère unique ou en croisant les requêtes des divers menus déroulants. Il n’y a pas de recherche libre.

La base de données propose une multitude de champs d’interrogation :

La rubrique par effectif forme une recherche qui se suffit à elle-même. Elle est un peu plus complexe que les autres types de recherche, mais très précise, elle permet d’appréhender le répertoire en triant les œuvres suivant le type d’instruments présents et le nombre exact d’instruments par pupitres de vents.

Après affichage d’une page de réponse, il est à chaque fois possible d’affiner ou de relancer les recherches en cliquant sur une de ses informations en bleu, il est aussi possible de re-trier les tableaux (tableaux de concerts notamment) en cliquant sur l’en-tête de l’une ou l’autre de ses colonnes.

Ne pas oublier de valider les choix pour lancer les recherches (bouton en bas de la colonne de gauche et, pour l’effectif, en bas à droite).

Évolution, enrichissements à venir

Cette base de donnés est encore en conception, certaines rubriques sont donc en cours d’aménagement et de finalisation. Les notices biographiques ne sont pas encore toutes saisies, celles qui manquent arriveront progressivement. Les notices d’institutions musicales ou celles des chefs d’orchestre sont également à compléter. D’autres informations parcellaires ne peuvent quant à elles, en l’état actuel des recherches, être complétées.

Si le lecteur tombe sur une coquille, repère un problème d’affichage ou une incohérence quelconque au fil de ses recherches, il est invité à nous le signaler par la page « Contacts » et nous l’en remercions d’avance.

imprimer la page

Jean-Madeleine SCHNEITZHOEFFER (1785-1852)

Jean-Madeleine Schneitzhoeffer, reproduction photomécanique d’une caricature
Jean-Madeleine Schneitzhoeffer, reproduction photomécanique d’une caricature
(sources : Gallica)

« Son nom faisait son désespoir. On l’appelait au théâtre Chênecerf ; il voulait qu’on l’appelât Bertrand. Il mettait sur ses cartes de visites : Schneitzoeffer (prononcez Bertrand). »

Halévy, Fromental, Derniers Souvenirs et Portraits, p. 163

 

Originaire de Toulouse, Jean-Madeleine Schneitzhoeffer est le fils d’un hautboïste de l’Opéra de Paris. Pianiste lui-même, il obtient un prix de piano du Conservatoire de Paris en 1803, mais c’est comme timbalier qu’il entre finalement en 1815 à l’Opéra de Paris. Sept ans plus tard, il y est nommé chef de chant. Il est également professeur de Solfège (1827-1831) puis professeur des chœurs de femmes au conservatoire de Paris (1831-1851).

Formé en harmonie par Charles-Simon Catel, il est l’auteur de plusieurs ballets romantiques tels que Mars et Vénus, Le Sicilien, Proserpine (1818), Le Séducteur au village (1818), Zémire et Azor (1824), Les Filets de Vulcain (1826), La Sylphide (1832) ou La Tempête (1834), dont sept ont été créés à l’Opéra.

On lui connaît au moins une symphonie qui a été jouée au Concert de la rue de Grenelle (une société d’amateurs créée en 1825). Un Andante est joué le 24 février 1839 (au 4e concert de la Société des concerts du Conservatoire. Rien n’atteste qu’il s’agisse de la même symphonie ou d’une œuvre plus récente. Il est également l'auteur d'une Symphonie militaire à deux orchestres concertants, créée dans la Salle du Conservatoire le 6 janvier 1839.

Symphonies

Symphonie

Symphonie militaire (à deux orchestres concertants)

Concerts

1839

24 février, Paris, Société des concerts du Conservatoire, Symphonie

 

retour en haut de la page

 

--------------------
---------------------