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Mode d’emploi

La recherche peut se faire par critère unique ou en croisant les requêtes des divers menus déroulants. Il n’y a pas de recherche libre.

La base de données propose une multitude de champs d’interrogation :

La rubrique par effectif forme une recherche qui se suffit à elle-même. Elle est un peu plus complexe que les autres types de recherche, mais très précise, elle permet d’appréhender le répertoire en triant les œuvres suivant le type d’instruments présents et le nombre exact d’instruments par pupitres de vents.

Après affichage d’une page de réponse, il est à chaque fois possible d’affiner ou de relancer les recherches en cliquant sur une de ses informations en bleu, il est aussi possible de re-trier les tableaux (tableaux de concerts notamment) en cliquant sur l’en-tête de l’une ou l’autre de ses colonnes.

Ne pas oublier de valider les choix pour lancer les recherches (bouton en bas de la colonne de gauche et, pour l’effectif, en bas à droite).

Évolution, enrichissements à venir

Cette base de donnés est encore en conception, certaines rubriques sont donc en cours d’aménagement et de finalisation. Les notices biographiques ne sont pas encore toutes saisies, celles qui manquent arriveront progressivement. Les notices d’institutions musicales ou celles des chefs d’orchestre sont également à compléter. D’autres informations parcellaires ne peuvent quant à elles, en l’état actuel des recherches, être complétées.

Si le lecteur tombe sur une coquille, repère un problème d’affichage ou une incohérence quelconque au fil de ses recherches, il est invité à nous le signaler par la page « Contacts » et nous l’en remercions d’avance.

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Eugène LACHEURIÉ (1831-1907)

Eugène Lacheurié par Gustave Moreau (1852) Graphite sur papier vélin ivoire (32,4 × 24,4 cm)
Eugène Lacheurié par Gustave Moreau (1852) Graphite sur papier vélin ivoire (32,4 × 24,4 cm)
(sources : Wikipedia)

Né à Paris le 7 juin 1831, Eugène Lacheurié se distingue en 1856 lorsqu’il remporte le Deuxième Second Prix de Rome juste derrière Bizet, Premier Second Grand Prix. Il avait auparavant suivi les classes de Halévy et Barbereau au Conservatoire de Paris.

Il est l’auteur de La Fille du calife, opéra-comique en deux actes, mais il reste aujourd’hui peu de traces du compositeur qui n’a jamais réussi à gagner les devants de la scène musicale. L’une de ses symphonies a cependant été jouée en 1867 à l’Athénée sous la direction de Jules Pasdeloup.

Il s’installe à La Rochelle en 1887 et gagne sa vie en donnant quelques cours de musique tout en espérant un poste de conservateur qu’il n’obtiendra jamais. Ami de jeunesse du peintre Gustave Moreau, proche de Degas également, il s’adonne à la peinture de paysages et a lui-même exposé plusieurs toiles aux Salons de 1881, 1882, 1890.

Symphonies

Symphonie 1 en sol

Symphonie 2 en LA

Symphonie 3

Concerts

1867

15 février, Paris, Concerts Pasdeloup, Symphonie 1

20 février, Paris, Concerts Pasdeloup, Symphonie 1

 

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