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Mode d’emploi

La recherche peut se faire par critère unique ou en croisant les requêtes des divers menus déroulants. Il n’y a pas de recherche libre.

La base de données propose une multitude de champs d’interrogation :

La rubrique par effectif forme une recherche qui se suffit à elle-même. Elle est un peu plus complexe que les autres types de recherche, mais très précise, elle permet d’appréhender le répertoire en triant les œuvres suivant le type d’instruments présents et le nombre exact d’instruments par pupitres de vents.

Après affichage d’une page de réponse, il est à chaque fois possible d’affiner ou de relancer les recherches en cliquant sur une de ses informations en bleu, il est aussi possible de re-trier les tableaux (tableaux de concerts notamment) en cliquant sur l’en-tête de l’une ou l’autre de ses colonnes.

Ne pas oublier de valider les choix pour lancer les recherches (bouton en bas de la colonne de gauche et, pour l’effectif, en bas à droite).

Évolution, enrichissements à venir

Cette base de donnés est encore en conception, certaines rubriques sont donc en cours d’aménagement et de finalisation. Les notices biographiques ne sont pas encore toutes saisies, celles qui manquent arriveront progressivement. Les notices d’institutions musicales ou celles des chefs d’orchestre sont également à compléter. D’autres informations parcellaires ne peuvent quant à elles, en l’état actuel des recherches, être complétées.

Si le lecteur tombe sur une coquille, repère un problème d’affichage ou une incohérence quelconque au fil de ses recherches, il est invité à nous le signaler par la page « Contacts » et nous l’en remercions d’avance.

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Léon GASTINEL (1823-1906)

Léon(-Gustave-Cyprien) Gastinel, violoniste et compositeur.

Il intègre le Conservatoire de Paris à la toute fin de l’année 1840, y suit des cours de violon et d’harmonie avant de poursuivre ses études dans la classe de composition d’Halévy. Il remporte le Premier Grand Prix de Rome en 1846.

Il est engagé comme violoniste à l’Opéra-Comique, comme violoniste et altiste à la Société des concerts du Conservatoire.

Sa production abondante couvre à peu près tous les genres : ouvrages lyriques, ballets, musique religieuse, musique instrumentale. Joël-Marie Fauquet remarque que c’est l’un des lauréats du Prix de Rome les plus féconds et les plus fidèles à sa formation académique.

 

On lui connaît deux symphonies.

Le compositeur sollicite à deux reprises la Société des concerts du Conservatoire pour l’audition d’une symphonie, au début du mois de décembre 1849 et en novembre 1860. La première fois, l’audition lui est refusée parce que la liste des œuvres nouvelles est déjà close. Après ce refus, Léon Gastinel se tourne vers d’autres orchestres et l’Andante et le Scherzo de cette symphonie sont finalement présentés au public de la Société philharmonique de Berlioz, le 30 mars 1850. La seconde fois, le comité se prononce en faveur d’une audition. La séance de répétition a lieu le 15 décembre, mais la symphonie n’est pas intégrée aux programmes de la saison.

Sources
FETIS, François-Joseph, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, Paris, Firmin-Didot, vol. 1, 2/1868 ; FAUQUET, Joël-Marie, Dictionnaire de la musique en France au XIXe siècle, Paris, Fayard, 2003

Symphonies

Symphonie 1, composition : vers 1849

Concerts

1850

30 mars, Paris, Grande Société philharmonique, Symphonie 1

 

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