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Mode d’emploi

La recherche peut se faire par critère unique ou en croisant les requêtes des divers menus déroulants. Il n’y a pas de recherche libre.

La base de données propose une multitude de champs d’interrogation :

La rubrique par effectif forme une recherche qui se suffit à elle-même. Elle est un peu plus complexe que les autres types de recherche, mais très précise, elle permet d’appréhender le répertoire en triant les œuvres suivant le type d’instruments présents et le nombre exact d’instruments par pupitres de vents.

Après affichage d’une page de réponse, il est à chaque fois possible d’affiner ou de relancer les recherches en cliquant sur une de ses informations en bleu, il est aussi possible de re-trier les tableaux (tableaux de concerts notamment) en cliquant sur l’en-tête de l’une ou l’autre de ses colonnes.

Ne pas oublier de valider les choix pour lancer les recherches (bouton en bas de la colonne de gauche et, pour l’effectif, en bas à droite).

Évolution, enrichissements à venir

Cette base de donnés est encore en conception, certaines rubriques sont donc en cours d’aménagement et de finalisation. Les notices biographiques ne sont pas encore toutes saisies, celles qui manquent arriveront progressivement. Les notices d’institutions musicales ou celles des chefs d’orchestre sont également à compléter. D’autres informations parcellaires ne peuvent quant à elles, en l’état actuel des recherches, être complétées.

Si le lecteur tombe sur une coquille, repère un problème d’affichage ou une incohérence quelconque au fil de ses recherches, il est invité à nous le signaler par la page « Contacts » et nous l’en remercions d’avance.

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Pierre-Louis DEFFÈS (1819-1900)

Originaire de Toulouse où il reçoit ses premiers cours de musique, Pierre-Louis Deffès rentre à l’âge de vingt ans au Conservatoire de Paris. Il y suit les classes d’harmonie (Bazin), de contrepoint et fugue avant d’accéder à la classe de composition (Berton puis Halévy). Il obtient le Premier Grand Prix de Rome en 1847.

A son retour d’Italie et d’Allemagne, il éprouve des difficultés à trouver un livret d’opéra à son goût et peine à faire jouer ses œuvres. Il se tourne vers l’Allemagne où quatre de ses dix-sept œuvres lyriques seront créées.

Il est nommé directeur du Conservatoire de Toulouse en 1883, poste qu’il occupe jusqu’à sa mort. Il s’attache à y renouveler le mode d’enseignement. Il fut également membre fondateur de la Société des compositeurs de musique.

On lui connaît la symphonie qu’il envoie de la villa Médicis en 1850 : Allegro – Andante – Scherzo et Final. Des fragments ont été joués lors de la séance publique de l’Académie de Beaux-Arts de l’Institut, en 1851.

Sources
FETIS, François-Joseph, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, Paris, Firmin-Didot, vol. 1, 2/1868
FAUQUET, Joël-Marie, Dictionnaire de la musique en France au XIXe siècle, Paris, Fayard, 2003

Symphonies

Symphonie (envoi de Rome)

Concerts

1851

4 octobre, Paris, Académie des Beaux-Arts, Symphonie (envoi de Rome)

 

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