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Mode d’emploi

La recherche peut se faire par critère unique ou en croisant les requêtes des divers menus déroulants. Il n’y a pas de recherche libre.

La base de données propose une multitude de champs d’interrogation :

La rubrique par effectif forme une recherche qui se suffit à elle-même. Elle est un peu plus complexe que les autres types de recherche, mais très précise, elle permet d’appréhender le répertoire en triant les œuvres suivant le type d’instruments présents et le nombre exact d’instruments par pupitres de vents.

Après affichage d’une page de réponse, il est à chaque fois possible d’affiner ou de relancer les recherches en cliquant sur une de ses informations en bleu, il est aussi possible de re-trier les tableaux (tableaux de concerts notamment) en cliquant sur l’en-tête de l’une ou l’autre de ses colonnes.

Ne pas oublier de valider les choix pour lancer les recherches (bouton en bas de la colonne de gauche et, pour l’effectif, en bas à droite).

Évolution, enrichissements à venir

Cette base de donnés est encore en conception, certaines rubriques sont donc en cours d’aménagement et de finalisation. Les notices biographiques ne sont pas encore toutes saisies, celles qui manquent arriveront progressivement. Les notices d’institutions musicales ou celles des chefs d’orchestre sont également à compléter. D’autres informations parcellaires ne peuvent quant à elles, en l’état actuel des recherches, être complétées.

Si le lecteur tombe sur une coquille, repère un problème d’affichage ou une incohérence quelconque au fil de ses recherches, il est invité à nous le signaler par la page « Contacts » et nous l’en remercions d’avance.

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Jean CONTE (1830-1888)

Violoniste toulousain et compositeur, Jean Conte se forme d’abord au Conservatoire de Toulouse récemment érigé, en 1840, en succursale du Conservatoire de Paris, quatorze ans après celui de Lille. Élève de Carafa au Conservatoire de Paris, il remporte en 1855 le grand prix de Rome. Il dirige l’orchestre du Théâtre des Jeunes-Acteurs Louis Comte pendant ses études à Paris.

Sa symphonie pittoresque Le Carnaval à Rome1 constitue l’un de ses envois de troisième année depuis la villa Médicis (elle était accompagnée d’un Dies irae en 7 parties). Elle a été jouée en 1859 à la séance annuelle de l’Institut. A son retour d’Italie, il peine à faire entendre ses compositions et se tourne vers l’enseignement, au pensionnat des Frères de Passy. Il intègre en 1866 l’orchestre des Concerts du Conservatoire dont il devient sociétaire en 1876 et celui de l’Opéra en 1867.

Les fichiers de la BnF ne recensent aucune œuvre du compositeur, dont le fonds réside aux archives de Toulouse. On lui doit un opéra-comique en un acte : Beppo (1874), diverses pièces pour violon, un Duo concertant pour piano et violon sur des airs italiens, quelques pièces pour voix, une Messe solennelle envoyée de Rome, tout comme les fragments d’un opéra italien Isabella di Lara. Il est aussi l’auteur d’une Méthode de violon.

Sources
FETIS, François-Joseph, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, Paris, Firmin-Didot, vol. 1, 2/1868
FAUQUET, Joël-Marie, Dictionnaire de la musique en France au XIXe siècle, Paris, Fayard, 2003

Symphonies

Symphonie pittoresque "Le Carnaval à Rome"

Symphonie (envoi de Rome), composition : 1859

Concerts

1859

1 octobre, Paris, Académie des Beaux-Arts, Symphonie (envoi de Rome)

1863

21 mars, Paris, Salle du Casino, Symphonie pittoresque "Le Carnaval à Rome"

 

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